« Don Quichotte » est un des livres les plus lus dans le monde. Il est traduit dans pratiquement toutes les langues. Un grand passionné de ce personnage littéraire extraordinaire, Rodrigez Espindola Chaparro a eul'idée de créer un café-bar qui porterait le nom de « Café Don Quichotte ». Par la suite, quelqu'un lui a offert, comme décor pour ce café, une sculpture de Don Quichotte réalisée par l'artiste Edison Ardila Murallar.
À partir de ce cadeau lui est venue l'idée de créer un musée en l’honneur de Don Quichotte. Ainsi, depuis 25 ans, au fin fond de l’Amérique du Sud, dans le village colombien de Zapatoca, existe ce musée.
On peut se poser la question de la pertinence d’un tel projet loin de toutes références géographiques, loin de tout lien avec l’homme de la Mancha, ou même avec l’auteur de cet ouvrage. Rodrigez Espindola Chaparronous répond: «J’ai fait cela dans un élan de créativité qui dure depuis 25 années et qui a abouti à la création de plus d’une cinquantaine de sculptures originales qui nous invitent à une réflexion sur notre propre vie… J’admire Don Quichotte dans la démesure de ce qu’il entreprend et dans la poésie de ses mots et de ses actes. Ce personnage est surprenant, lui qui voit et combat des géants, là où il n’existe en vérité que des moulins ».
Dans son musée, il donne vie à son héros préféré dans toutes les situations, toutes les époques : avec les trois mousquetaires, sous la mer ou sur la lune… Mais la plus belle pièce et la preuve de la persistance de l’extraordinaire poésie de l’esprit de Don Quichotte c’est Rodrigez lui-même. Ou comme il le suggère « Zegirdor ».
Le musée créé par Rodrigez, est la maison la plus belle et la plus étrange, car elle n’a ni murs, ni plafonds, ni limites, ni propriétaires. Ses fondements sont l’art, la philosophie et la métaphore. Elle s’est construite en un jour et des millions de nuits.
Elle est peinte aux couleurs de l’imagination, de la liberté et de la surprise. Elle est si prodigieuse que dans son cœur et ses couloirs infinis ne tiennent que le soleil et la lune où ils dansent et chantent entrelacés chaque nuit.
Elle est unique, pour tout le monde et pour toujours. Elle a été construite non pas pour vivre, mais pour penser. Ses hôtes sont le sentiment, le sourire et l’espérance. La visiter nous donne envie de la revoir, car il y a toujours quelque chose à découvrir.
Traverser cette maison, c’est traverser sa propre vie. La connaître, c’est se connaître soi-même et la visiter, vous fait crier en silence : j’y ai vécu ! L’architecte de cette maison, c’est vous.
À partir de ce cadeau lui est venue l'idée de créer un musée en l’honneur de Don Quichotte. Ainsi, depuis 25 ans, au fin fond de l’Amérique du Sud, dans le village colombien de Zapatoca, existe ce musée.
On peut se poser la question de la pertinence d’un tel projet loin de toutes références géographiques, loin de tout lien avec l’homme de la Mancha, ou même avec l’auteur de cet ouvrage. Rodrigez Espindola Chaparronous répond: «J’ai fait cela dans un élan de créativité qui dure depuis 25 années et qui a abouti à la création de plus d’une cinquantaine de sculptures originales qui nous invitent à une réflexion sur notre propre vie… J’admire Don Quichotte dans la démesure de ce qu’il entreprend et dans la poésie de ses mots et de ses actes. Ce personnage est surprenant, lui qui voit et combat des géants, là où il n’existe en vérité que des moulins ».
Dans son musée, il donne vie à son héros préféré dans toutes les situations, toutes les époques : avec les trois mousquetaires, sous la mer ou sur la lune… Mais la plus belle pièce et la preuve de la persistance de l’extraordinaire poésie de l’esprit de Don Quichotte c’est Rodrigez lui-même. Ou comme il le suggère « Zegirdor ».
Le musée créé par Rodrigez, est la maison la plus belle et la plus étrange, car elle n’a ni murs, ni plafonds, ni limites, ni propriétaires. Ses fondements sont l’art, la philosophie et la métaphore. Elle s’est construite en un jour et des millions de nuits.
Elle est peinte aux couleurs de l’imagination, de la liberté et de la surprise. Elle est si prodigieuse que dans son cœur et ses couloirs infinis ne tiennent que le soleil et la lune où ils dansent et chantent entrelacés chaque nuit.
Elle est unique, pour tout le monde et pour toujours. Elle a été construite non pas pour vivre, mais pour penser. Ses hôtes sont le sentiment, le sourire et l’espérance. La visiter nous donne envie de la revoir, car il y a toujours quelque chose à découvrir.
Traverser cette maison, c’est traverser sa propre vie. La connaître, c’est se connaître soi-même et la visiter, vous fait crier en silence : j’y ai vécu ! L’architecte de cette maison, c’est vous.