Nos 5 années d'études de français à l'Université pédagogique ont été très intéressantes et inoubliables. Voici le déroulé de nos émotions à partir de la première année.
Lorsque nous sommes arrivés pour la première fois à l'Université pédagogique, nous ne savions presque rien de la France et de sa langue. Pour nous, la France était quelque chose d'inhabituel et de romantique. Nous imaginions des rues étroites avec de nombreux cafés aux sièges d’osier et des boulangeries avec des croissants fraîchement cuits, du chocolat et du café fort, les Champs-Élysées sans fin, où à chaque pas nous découvrons des galeries commerciales et des maisons de couture mondialement connues, et où une fine odeur de parfum "Chanel" flotte dans l'air. Dans les rues déambulent des Françaises en talons vêtues de belles robes et coiffées d’un béret rouge.
Pendant la première leçon, lorsque nous avons commencé l’apprentissage par les signes diacritiques et les sons imprononçables, nous avons eu peur de ne pas pouvoir assimiler cette langue. Mais au fil des leçons, elle devenait de plus en plus intéressante et la peur disparaissait progressivement, nous apprenions non seulement la langue, ses caractéristiques, ses différentes règles, mais aussi la culture de ce merveilleux pays.
Aux cours de civilisation française, nous avons étudié la riche histoire de la France, sa géographie, les gens célèbres. Le moment le plus intéressant était quand nous avons réalisé des projets en groupes consacrés aux artistes connus, aux musiciens, aux acteurs et aux créateurs de mode. Nous avons pu nous immerger dans la culture de ce pays et apprendre beaucoup d’éléments nouveaux et utiles qui nous ont aidés dans notre apprentissage ultérieur de la langue.
L'une des premières activités auxquelles nous avons participé était la journée de la cuisine nationale, pour laquelle nous avons préparé des plats de la cuisine française tels que des croissants, une Ratatouille, des salades niçoises et des Paris-Brest. C'était merveilleux, car nous avons pu sentir une partie de la France dans notre Université.
Les cours se sont enchainés quatre ans avec régularité et nous voici déjà en dernière année. Cette étape est la plus heureuse et la plus triste en même temps dans la vie de chaque étudiant. Même à ce stade, alors qu'il semblait que l'on nous ait tout appris, le français continuait de nous étonner.
L'un des moments significatifs de cette année a bien sûr été la pratique pédagogique à l'école. C'est une expérience incroyable ! Nous sommes maintenant de l'autre côté du processus éducatif, devenons professeurs et enseignons aux autres. Dans de tels moments, nous ressentons de la gratitude pour les connaissances que nos professeurs nous ont transmises avec tant d'amour et nous voulons à notre tour en transmettre autant que possible à la prochaine génération.
Pendant les travaux pratiques, il était intéressant d’observer les étudiants qui s'efforçaient de comprendre la grammaire française et commettaient souvent des erreurs de prononciation. Ces fautes si touchantes à chaque fois nous rappelaient notre première année, quand nous avons appris les virelangues et essayé de prononcer le plus clairement possible « La roue sur la rue roule ; la rue sous la roue reste ». Maintenant, c'est nous qui évaluons la prononciation des élèves.
La cinquième année est aussi l'année de la première participation de notre groupe au « Festival de la chanson française ». Ce fut une expérience intéressante et difficile pour chacun d'entre nous : surmonter nos peurs, ne pas être timide et maintenir l'intérêt du public. Mais nous avons ressenti des émotions inoubliables ! Et la merveilleuse atmosphère de la musique et de la culture françaises a incité tous les participants à la créativité.
Cette année, les professeurs nous ont montré différents films en français. Nous étions si heureux de comprendre l'intrigue, les subtilités des dialogues. Le sérieux des sujets favorisait les discussions intéressantes, même en français.
En général, au cours de ces cinq années, nous avons beaucoup regardé, lu, écrit et parlé. Je pense qu'il n'y a pas de sujet dont on ne pourrait discuter en français. Si la première année, avant de rencontrer les professeurs, nous avions un peu peur de ce qui nous attendait, notamment peur de commettre des erreurs, au fil du temps, le processus d'apprentissage est devenu une expédition passionnante dans laquelle nous recherchons nouveaux mots, nouvelles expressions, nouvelles significations.
Mais maintenant, notre « expédition » de cinq ans touche à sa fin et, en fait, il est difficile de le réaliser. D'une part, nous commençons une étape de notre vie, marquée par de nouvelles connaissances et la fin des études, d’autre part, dire adieu aux années étudiantes, à l'ambiance conviviale des cours de français, à tous les événements auxquels nous avons participé ou même simplement été spectateur, est d'une tristesse inouïe.
Quelle que soit l'évolution de la vie de chacun de nous, nous pouvons affirmer avec confiance qu'apprendre le français, en connaître la culture, et bien sûr, partager l'amour de cette belle langue avec nos professeurs affecte de manière extrêmement positive notre cheminement futur.
Lorsque nous sommes arrivés pour la première fois à l'Université pédagogique, nous ne savions presque rien de la France et de sa langue. Pour nous, la France était quelque chose d'inhabituel et de romantique. Nous imaginions des rues étroites avec de nombreux cafés aux sièges d’osier et des boulangeries avec des croissants fraîchement cuits, du chocolat et du café fort, les Champs-Élysées sans fin, où à chaque pas nous découvrons des galeries commerciales et des maisons de couture mondialement connues, et où une fine odeur de parfum "Chanel" flotte dans l'air. Dans les rues déambulent des Françaises en talons vêtues de belles robes et coiffées d’un béret rouge.
Pendant la première leçon, lorsque nous avons commencé l’apprentissage par les signes diacritiques et les sons imprononçables, nous avons eu peur de ne pas pouvoir assimiler cette langue. Mais au fil des leçons, elle devenait de plus en plus intéressante et la peur disparaissait progressivement, nous apprenions non seulement la langue, ses caractéristiques, ses différentes règles, mais aussi la culture de ce merveilleux pays.
Aux cours de civilisation française, nous avons étudié la riche histoire de la France, sa géographie, les gens célèbres. Le moment le plus intéressant était quand nous avons réalisé des projets en groupes consacrés aux artistes connus, aux musiciens, aux acteurs et aux créateurs de mode. Nous avons pu nous immerger dans la culture de ce pays et apprendre beaucoup d’éléments nouveaux et utiles qui nous ont aidés dans notre apprentissage ultérieur de la langue.
L'une des premières activités auxquelles nous avons participé était la journée de la cuisine nationale, pour laquelle nous avons préparé des plats de la cuisine française tels que des croissants, une Ratatouille, des salades niçoises et des Paris-Brest. C'était merveilleux, car nous avons pu sentir une partie de la France dans notre Université.
Les cours se sont enchainés quatre ans avec régularité et nous voici déjà en dernière année. Cette étape est la plus heureuse et la plus triste en même temps dans la vie de chaque étudiant. Même à ce stade, alors qu'il semblait que l'on nous ait tout appris, le français continuait de nous étonner.
L'un des moments significatifs de cette année a bien sûr été la pratique pédagogique à l'école. C'est une expérience incroyable ! Nous sommes maintenant de l'autre côté du processus éducatif, devenons professeurs et enseignons aux autres. Dans de tels moments, nous ressentons de la gratitude pour les connaissances que nos professeurs nous ont transmises avec tant d'amour et nous voulons à notre tour en transmettre autant que possible à la prochaine génération.
Pendant les travaux pratiques, il était intéressant d’observer les étudiants qui s'efforçaient de comprendre la grammaire française et commettaient souvent des erreurs de prononciation. Ces fautes si touchantes à chaque fois nous rappelaient notre première année, quand nous avons appris les virelangues et essayé de prononcer le plus clairement possible « La roue sur la rue roule ; la rue sous la roue reste ». Maintenant, c'est nous qui évaluons la prononciation des élèves.
La cinquième année est aussi l'année de la première participation de notre groupe au « Festival de la chanson française ». Ce fut une expérience intéressante et difficile pour chacun d'entre nous : surmonter nos peurs, ne pas être timide et maintenir l'intérêt du public. Mais nous avons ressenti des émotions inoubliables ! Et la merveilleuse atmosphère de la musique et de la culture françaises a incité tous les participants à la créativité.
Cette année, les professeurs nous ont montré différents films en français. Nous étions si heureux de comprendre l'intrigue, les subtilités des dialogues. Le sérieux des sujets favorisait les discussions intéressantes, même en français.
En général, au cours de ces cinq années, nous avons beaucoup regardé, lu, écrit et parlé. Je pense qu'il n'y a pas de sujet dont on ne pourrait discuter en français. Si la première année, avant de rencontrer les professeurs, nous avions un peu peur de ce qui nous attendait, notamment peur de commettre des erreurs, au fil du temps, le processus d'apprentissage est devenu une expédition passionnante dans laquelle nous recherchons nouveaux mots, nouvelles expressions, nouvelles significations.
Mais maintenant, notre « expédition » de cinq ans touche à sa fin et, en fait, il est difficile de le réaliser. D'une part, nous commençons une étape de notre vie, marquée par de nouvelles connaissances et la fin des études, d’autre part, dire adieu aux années étudiantes, à l'ambiance conviviale des cours de français, à tous les événements auxquels nous avons participé ou même simplement été spectateur, est d'une tristesse inouïe.
Quelle que soit l'évolution de la vie de chacun de nous, nous pouvons affirmer avec confiance qu'apprendre le français, en connaître la culture, et bien sûr, partager l'amour de cette belle langue avec nos professeurs affecte de manière extrêmement positive notre cheminement futur.