Je vis en Chine depuis presque deux ans maintenant. Comme vous pouvez le deviner, pratiquement tout ce temps, le monde, et avec lui moi, étions dans une situation de pandémie. Au départ, il me semblait que j'allais beaucoup voyager dans les pays voisins. Enfin, je vais voir le Japon, les plages les plus connues du Vietnam et de la Thaïlande.
Mais, franchement, je n'ai fait qu'un seul voyage de plus ou moins longue durée. L'accalmie de la propagation du virus et mes vacances ont miraculeusement coïncidé et je suis parti à Suzhou pour quelques jours. Ceci est un lieu de Chine, pas très loin de Shanghai. Il est connu sous le nom de «Venise Chinoise» en raison de ses canaux.
Je voulais tellement aller quelque part que j’ai passé une demi-heure seulement à chercher un hôtel. Et j’ai été un peu surprise quand j’ai commencé à vérifier son emplacement. Étant déjà dans un taxi j’ai réalisé que cet endroit est situé loin de la ville.
C’était une petite zone de la ville voisine, où les jardins et les monuments des siècles passés ont été préservés. On peut dire que je me suis installée dans «un musée». C’était très inattendu et même un peu inquiétant car après 22 heures, cet endroit était vide, sans personne.
Mais c’était tout à fait enrichi par les promenades d’une journée. Autour il y avait des rues étroites et pittoresques. Des ombreux bateaux sillonnaient le long des canaux, et dans les coins sombres des rues, il y avait des entrées aux anciens jardins majestueux.
Quand je suis revenue dans ma ville, Qingdao, l’automne approchait déjà. De plus en plus, je voulais passer du temps à la maison et me concentrer sur mes intérêts.
J’ai compris que je voudrais apprendre la psychologie en France. Pour but j’ai besoin de bon français. Maintenant j’en ai 2 heures par semaine avec ma professeure. La partie la plus difficile pour moi dans tout cela, de croire que je peux vraiment le faire et ne pas être intimidée par l’énorme quantité de connaissances dont j’ai besoin pour l’introduire dans ma tête.
La deuxième chose que j’ai commencé à apprendre était le chinois. C’est trop difficile de vivre dans un autre pays et de ne savoir que [se se]. J’ai commencé à me sentir comme une personne très polie, mais pas très intelligente. J’ai eu deux professeurs. Mais nous n’étions pas en accord tout à fait. Maintenant j’essaye de l’étudier moi-même. Heureusement, la pratique est plus que suffisante.
Il y a encore une chose que je fais exclusivement pour mon propre plaisir. J’ai commencé un cours de fleuristerie. Il m’a toujours semblé que c’était un travail très beau et méditatif. Je fais cela pendant mon temps libre. Toutes les leçons se déroulent en ligne. Je n’ai besoin que d’envoyer des photos de mon travail.
J'apprécie vraiment mon temps solitude avec des fleurs. Les arbres en fleurs m'ont manqué tout l'hiver. Et dès que la saison des cerisiers en fleurs a commencé, je suis immédiatement allée me promener dans les montagnes de Laoshan.
Dans ces endroits, il existe de nombreux coins et sentiers pratiques et cachés pour observer la nature et faire de la randonnée. La chose la plus merveilleuse à propos de ces parcs est qu'ils sont pratiquement conservés dans leur forme originale. Il est presque impossible de trouver des plantations artificielles et denses d'arbres à fleurs. Mais c'est le charme le plus important - voir un cerisier mince et fragile, ou au milieu d'énormes sapins, ou une petite clairière inattendue pleine de fleurs violettes touchantes. Ces lieux ressemblent à un conte de fées.
J'aime me promener dans Qingdao. J’aime cette ville, qui combine gratte-ciel bruyants, rues touristiques de la vieille ville et parcs fantastiques qui donnent l'occasion de se sentir en harmonie avec la nature. J’y reste…
Mais, franchement, je n'ai fait qu'un seul voyage de plus ou moins longue durée. L'accalmie de la propagation du virus et mes vacances ont miraculeusement coïncidé et je suis parti à Suzhou pour quelques jours. Ceci est un lieu de Chine, pas très loin de Shanghai. Il est connu sous le nom de «Venise Chinoise» en raison de ses canaux.
Je voulais tellement aller quelque part que j’ai passé une demi-heure seulement à chercher un hôtel. Et j’ai été un peu surprise quand j’ai commencé à vérifier son emplacement. Étant déjà dans un taxi j’ai réalisé que cet endroit est situé loin de la ville.
C’était une petite zone de la ville voisine, où les jardins et les monuments des siècles passés ont été préservés. On peut dire que je me suis installée dans «un musée». C’était très inattendu et même un peu inquiétant car après 22 heures, cet endroit était vide, sans personne.
Mais c’était tout à fait enrichi par les promenades d’une journée. Autour il y avait des rues étroites et pittoresques. Des ombreux bateaux sillonnaient le long des canaux, et dans les coins sombres des rues, il y avait des entrées aux anciens jardins majestueux.
Quand je suis revenue dans ma ville, Qingdao, l’automne approchait déjà. De plus en plus, je voulais passer du temps à la maison et me concentrer sur mes intérêts.
J’ai compris que je voudrais apprendre la psychologie en France. Pour but j’ai besoin de bon français. Maintenant j’en ai 2 heures par semaine avec ma professeure. La partie la plus difficile pour moi dans tout cela, de croire que je peux vraiment le faire et ne pas être intimidée par l’énorme quantité de connaissances dont j’ai besoin pour l’introduire dans ma tête.
La deuxième chose que j’ai commencé à apprendre était le chinois. C’est trop difficile de vivre dans un autre pays et de ne savoir que [se se]. J’ai commencé à me sentir comme une personne très polie, mais pas très intelligente. J’ai eu deux professeurs. Mais nous n’étions pas en accord tout à fait. Maintenant j’essaye de l’étudier moi-même. Heureusement, la pratique est plus que suffisante.
Il y a encore une chose que je fais exclusivement pour mon propre plaisir. J’ai commencé un cours de fleuristerie. Il m’a toujours semblé que c’était un travail très beau et méditatif. Je fais cela pendant mon temps libre. Toutes les leçons se déroulent en ligne. Je n’ai besoin que d’envoyer des photos de mon travail.
J'apprécie vraiment mon temps solitude avec des fleurs. Les arbres en fleurs m'ont manqué tout l'hiver. Et dès que la saison des cerisiers en fleurs a commencé, je suis immédiatement allée me promener dans les montagnes de Laoshan.
Dans ces endroits, il existe de nombreux coins et sentiers pratiques et cachés pour observer la nature et faire de la randonnée. La chose la plus merveilleuse à propos de ces parcs est qu'ils sont pratiquement conservés dans leur forme originale. Il est presque impossible de trouver des plantations artificielles et denses d'arbres à fleurs. Mais c'est le charme le plus important - voir un cerisier mince et fragile, ou au milieu d'énormes sapins, ou une petite clairière inattendue pleine de fleurs violettes touchantes. Ces lieux ressemblent à un conte de fées.
J'aime me promener dans Qingdao. J’aime cette ville, qui combine gratte-ciel bruyants, rues touristiques de la vieille ville et parcs fantastiques qui donnent l'occasion de se sentir en harmonie avec la nature. J’y reste…