Si vous demandez à Google « Le top 100 des livres de la littérature mondiale » vous ne verrez dans cette liste d’auteurs que 7% des créations qui appartiennent à la plume féminine. Parmi elles il y aura surement une écrivaine anglaise Jane Austen dont les romans sont connus de beaucoup.
Jane Austen (1775-1817) est une célèbre écrivaine anglaise qui a écrit des romans comme «Raison et Sentiment», « Emma », « Orgueil et préjugés », ce dernier étant devenu une sorte de « carte de visite » de l’auteure. La vie de Jane Austen n’a pas été facile, elle est née dans une famille nombreuse bien modeste ; mais dès son plus jeune âge, Lady Jane (le pseudonyme sous lequel les premiers ouvrages ont été publiés) a commencé à se laisser emporter par la maîtrise des mots. Alors à l’âge de 14 ans, elle a créé « Amour et Amitié », c’est la première œuvre épistolaire de la jeune fille. Dans sa jeunesse, Jane a connu une histoire d’amour avec Tomas Lefroy, mais en raison de certaines circonstances, ils ont été obligés de se quitter : les deux familles étaient pauvres et la seule solution pour eux était un mariage de convenance. Tomas Lefroy s’est marié plus tard mais Jane Austen n’a jamais connu le bonheur féminin et, à l’âge de 30 ans, elle s’est coiffée d’un bonnet en assumant ainsi son statut de vieille fille.
La voie d’écrivaine de Jane Austen fut aussi très difficile et épineuse. Dans ses œuvres elle cherchait à créer une image vraie du monde qui l’entourait en reflétant les problèmes de son époque. Ses personnages sont bien vivants, combinant à la fois des qualités et des défauts. Ils se révèlent dans les dialogues et les actions. L'écrivaine accordait une attention particulière à l'introspection des héros.
L’un des exemples évidents est l’image d’Elizabeth Bennett tirée du roman « Orgueil et préjugés ». Le nom de l’œuvre suggère que les images des personnages principaux et leurs caractères sont perçus à travers les préjugés et l’orgueil blessé. On voit donc Lizzie, qui au départ succombe à l’orgueil et aux préjugés, trouve plus tard la force de repenser la situation et prend le dessus sur les préjugés. En général, le roman de Jane Austen est très féministe. Elizabeth Bennett refuse d’épouser Monsieur Collins, malgré sa situation peu agréable pour laquelle le mariage serait une bonne solution, selon elle. Mais Lizzie le voit autrement, elle n’accepte que le mariage par amour avec une personne qui la respecte. C’était très audacieux pour l’époque.
Aujourd’hui il ne resterait plus personne qui ne connaisse le nom de Jane Austen, elle est immortalisée par la littérature. Mais cela n’a pas toujours été le cas. Les contemporains n’appréciaient pas le talent littéraire de la jeune écrivaine. Charlotte Brontë était de l’avis bien désobligeant à l’égard de Jane Austen : « Reproduction simpliste et fidèle de visages ordinaires. Pas une seule image vive. Peut-être elle est raisonnable, réaliste ... mais on ne peut pas l’appeler géniale. »
Alors que tout le monde reconnaissait la créativité et le talent de Walter Scott, considérant ses romans magnifiques. Scott lui-même exprimait son admiration pour le roman d’Austen « Emma » : « Elle comprend les relations humaines, elle dessine des personnages si proches de nous avec un tact particulier, sa plume rappelle l’excellence de l’école flamande. » Il admire «la puissance de sa narration, ses précision et clarté extraordinaires, les dialogues simples et à la fois comiques, dans lesquels les personnages dévoilent leurs caractères, comme dans un vrai drame ».
Jane préférait la représentation objective de la réalité. Son but n’était pas de raconter la vie mais plutôt de la montrer. Pour la première fois dans la littérature anglaise, le dialogue développé par Austen est devenu la base de la poétique, un moyen d’exprimer le point de vue de l’auteur.
Jane Austen voit la nature humaine comme « une combinaison ... du bien et du mal ». Dans ses œuvres les caractères apparaissent dans leur développement, dans l’unité de l’individuel et du commun, ou, comme le disait l’écrivaine, de «si différent de tous » et de « si semblable aux autres ». Le secret du caractère humain est l’un des plus grands mystères de la vie pour Jane Austen. Il est caché dans « le non héroïque », dans le quotidien.
C’est pour la première fois dans le roman anglais, qu’a été présentée une image bien magnifique du « cœur enflammé ». Virginia Woolf a appelé Austen « maître qui peut voir même des sentiments bien cachées… ».
Jane Austen se situe vraiment au carrefour des époques littéraires, reliant le 18ème siècle au 19ème. Tout en développant la tradition du roman anglais, elle en montre également son épuisement. Et tandis que tout le monde créait dans une direction romantique, Jane posait les bases du réalisme. Et maintenant, son nom est connu de beaucoup.
La voie d’écrivaine de Jane Austen fut aussi très difficile et épineuse. Dans ses œuvres elle cherchait à créer une image vraie du monde qui l’entourait en reflétant les problèmes de son époque. Ses personnages sont bien vivants, combinant à la fois des qualités et des défauts. Ils se révèlent dans les dialogues et les actions. L'écrivaine accordait une attention particulière à l'introspection des héros.
L’un des exemples évidents est l’image d’Elizabeth Bennett tirée du roman « Orgueil et préjugés ». Le nom de l’œuvre suggère que les images des personnages principaux et leurs caractères sont perçus à travers les préjugés et l’orgueil blessé. On voit donc Lizzie, qui au départ succombe à l’orgueil et aux préjugés, trouve plus tard la force de repenser la situation et prend le dessus sur les préjugés. En général, le roman de Jane Austen est très féministe. Elizabeth Bennett refuse d’épouser Monsieur Collins, malgré sa situation peu agréable pour laquelle le mariage serait une bonne solution, selon elle. Mais Lizzie le voit autrement, elle n’accepte que le mariage par amour avec une personne qui la respecte. C’était très audacieux pour l’époque.
Aujourd’hui il ne resterait plus personne qui ne connaisse le nom de Jane Austen, elle est immortalisée par la littérature. Mais cela n’a pas toujours été le cas. Les contemporains n’appréciaient pas le talent littéraire de la jeune écrivaine. Charlotte Brontë était de l’avis bien désobligeant à l’égard de Jane Austen : « Reproduction simpliste et fidèle de visages ordinaires. Pas une seule image vive. Peut-être elle est raisonnable, réaliste ... mais on ne peut pas l’appeler géniale. »
Alors que tout le monde reconnaissait la créativité et le talent de Walter Scott, considérant ses romans magnifiques. Scott lui-même exprimait son admiration pour le roman d’Austen « Emma » : « Elle comprend les relations humaines, elle dessine des personnages si proches de nous avec un tact particulier, sa plume rappelle l’excellence de l’école flamande. » Il admire «la puissance de sa narration, ses précision et clarté extraordinaires, les dialogues simples et à la fois comiques, dans lesquels les personnages dévoilent leurs caractères, comme dans un vrai drame ».
Jane préférait la représentation objective de la réalité. Son but n’était pas de raconter la vie mais plutôt de la montrer. Pour la première fois dans la littérature anglaise, le dialogue développé par Austen est devenu la base de la poétique, un moyen d’exprimer le point de vue de l’auteur.
Jane Austen voit la nature humaine comme « une combinaison ... du bien et du mal ». Dans ses œuvres les caractères apparaissent dans leur développement, dans l’unité de l’individuel et du commun, ou, comme le disait l’écrivaine, de «si différent de tous » et de « si semblable aux autres ». Le secret du caractère humain est l’un des plus grands mystères de la vie pour Jane Austen. Il est caché dans « le non héroïque », dans le quotidien.
C’est pour la première fois dans le roman anglais, qu’a été présentée une image bien magnifique du « cœur enflammé ». Virginia Woolf a appelé Austen « maître qui peut voir même des sentiments bien cachées… ».
Jane Austen se situe vraiment au carrefour des époques littéraires, reliant le 18ème siècle au 19ème. Tout en développant la tradition du roman anglais, elle en montre également son épuisement. Et tandis que tout le monde créait dans une direction romantique, Jane posait les bases du réalisme. Et maintenant, son nom est connu de beaucoup.