Du 4 au 7 mai, j'ai participé au 18e Concours National « Connaissez-vous la France et ses régions ?» organisé par l'Association des Enseignants de Français / Russie (AEFR) avec l'Agence de Coopération Internationale Éducative et le soutien de l'Institut Français, rattaché à l'Ambassade de France en Russie. Étant lauréate du concours, grâce à l'Association, j'ai eu une opportunité unique de faire un stage culturel en France dans le cadre du programme des Centres Internationaux Francophones du Lions Club de France.
Les CIF compte sept centres francophones internationaux répartis dans tout le pays. Moi, j’étais très contente d’apprendre que j’allais faire mon stage à Strasbourg, capitale de l’Europe.
La règle principale du stage était de communiquer uniquement en français, sans utiliser l'anglais (ni le russe, l'arabe ou l'espagnol), ce qui n'était pas particulièrement difficile, car la plupart des stagiaires avaient un bon niveau de la langue.
Le 29 juin, on a commencé notre stage à Châtenay-Malabry au CREPS (Centre de ressources, d'expertise et de performance sportive) où tous les 210 stagiaires de sept centres de plus de 63 pays se sont réunis. J'ai immédiatement pénétré dans une atmosphère amicale. À l'entrée, j'ai été accueillie par une jeune fille radieuse prénommée Gvantsa, qui s'est révélée par la suite être l'une des quatre animateurs de mon centre qui s’appelait CIFGE (le Centre International Francophone Grand Est). Cette année CIFGE était présenté par 39 francophones issus de 32 pays différents.
Le début du stage s'est déroulé en préparation du grand spectacle d'ouverture des CIF 2019. Mais avant le concert tous les stagiaires, accompagnés d'animateurs, ont fait la première promenade ensemble à travers Paris. On a fait une croisière inoubliable sur la Seine sur un bateau « Vedettes de Pont Neuf» d’où nous avions le plaisir d’admirer la Conciergerie, le Château de Vincennes, le Panthéon, Le Notre Dame de Paris, la Musée d’Orsay.
Juste après l’arrivée au CREPS on a eu une répétition générale d’une fête d’ouverture. Peu après tous les participants se préparaient pour présenter leurs pays. Tout le monde était passionné par l’idée de se présenter. Nous étions habillés en tenues traditionnelles de nos pays.
Ayant goûté une variété de spécialités des différents pays pendant un apéritif international, tous les stagiaires en tenue traditionnelle ont présenté une légende régionale de leurs pays qui durait maximum 2 min lors de la soirée d’ouverture des centres. Le thème cette année était « La légende des CIF ».
Yulia Kukharenko a chanté une chanson russe et nous, 10 stagiaires venus de différentes régions de notre pays, avons dansé le quadrille de Moscou ensemble.
Le 30 juin, on a quitté la capitale française pour finalement arriver au centre francophone choisi. Cependant, sur le chemin vers la capitale européenne, on a fait de nombreux arrêts et on a découvert les villes et villages pittoresques de Champagne, d’Ardennes et d’Alsace. Pendant le stage, j’étais accueillie par différentes familles d’accueil, ce qui nous a permis de plonger dans l'atmosphère de la vie quotidienne des français. Où que nous soyons, on nous accueillait comme les meilleurs amis.
Le programme du CIFGE était plein de diverses activités autour de la thématique science et humanisme (débats avec des personnalités, visite de hauts lieux mémoriels et patrimoniaux…), ainsi qu'à des activités traditionnelles des centres : présentation des pays par chaque stagiaire, création de l'œuvre d'art du GIFGE 2019, rédaction d'un rapport qui sera diffusé dans le monde entier et préparation de la soirée de clôture qui a eu lieu le 25 juillet au Pavillon Joséphine à Strasbourg.
Cette année, le président des CIF et notre responsable, Christian Gaillac, a introduit le système du parrainage de chaque stagiaire. Ainsi, la présidente des Lions Clubs de Verdun, Mme Estelle Girault Dreneri, a examiné ma candidature et elle l’a choisie. En l'honneur cet événement mémorable, à la mairie de la ville, j’avais une occasion de lui remettre fanion de l’AMICIF.
Au cours du stage, j'ai fait un voyage virtuel non seulement à travers la France, mais aussi à travers de 31 pays. J'ai fait connaissance de la culture et des traditions de tous les pays présentés. La rencontre avec mes nouveaux amis a "détruit" de nombreux stéréotypes sur leurs pays. Tout le stage s'est déroulé dans une ambiance chaleureuse et conviviale grâce au travail des organisateurs et à une équipe d’encadrement formidable.
Nous avons également pris connaissance de la cuisine française, surtout de la cuisine alsacienne : la tarte flambée, la choucroute, la bouchée à la reine, le kougelhopf, le bretzel.
Les chansons, les danses et les blagues faisaient partie intégrante de notre séjour en France. Où que nous soyons, nous avions toujours nos propres phrases. Par exemple, étant dans les transports en commun pour ne pas nous perdre, on chantait «on descend à la prochaine», ce qui amusait toujours les gens autour de nous.
Le 13 juillet était un jour extraordinaire parce qu’on avait l’honneur de chanter La Marseillaise, l'hymne National de France et l'hymne de l'Union Européenne à la mairie sous la direction du chef d'orchestre professionnel Anne Rose Wehrle devant les autorités de Strasbourg.
Notre concert a tellement impressionné le maire de Strasbourg qu'il nous a invités le 17 juillet à une réception du Parlement Européen à l'hôtel de ville. Tous les stagiaires ont eu une occasion unique de parler à la Ministre en charge des Relations avec le Parlement Européen, au Président du Parlement Européen et aux nouveaux députés européens
Ce qui était amusant, c'est que les représentants de différents pays ne pouvaient pas déterminer ma nationalité par apparence. Par exemple, lors de la réception à l'hôtel de ville, un député européen de Roumanie s'est approché de moi et a commencé en roumain, pensant que j’étais une représentante de son pays. Après cette situation, tous les stagiaires de Roumanie ne m'appelaient que «notre compatriote».
Au cours du stage, les stagiaires présentaient la culture, les traditions et les coutumes, la cuisine de leur patrie. Ma compatriote de Sibérie, Akhmetchina Daria, et moi, avons présenté notre pays natal, le 7 juillet. Pour nous, c'était un moment important et responsable. On a fait une excursion virtuelle de la Russie en général, mais on a également parlé de nos régions. À mon tour, j'ai partagé avec mes nouveaux amis une partie de ma petite patrie, la République d'Adyguée, en présentant nos traditions, nos coutumes, nos costumes nationaux.
Dans notre centre, il y avait plusieurs stagiaires russophones. C’est pourquoi le soir, on nous demandait de chanter les chansons préférées de tous – «Kalinka» et «Katyusha». À la fin du stage, presque tous les stagiaires connaissaient par cœur les paroles de ces compositions célèbres.
Le programme culturel était très diversifié. À Strasbourg, nous avons visité le Musée d'Art moderne et contemporain qui présente les œuvres de Van Gogh, Claude Monet, Vasily Kandinsky etc. Moi, j’ai beaucoup aimé une visite de la Bibliothèque humaniste de Sélestat. Cet établissement, inscrit au registre mémoire du monde de l'UNESCO, abrite une importante collection d'ouvrages relatifs à l'humanisme, légués en 1547 par l'éditeur et écrivain Beatus Rhenanus. Le Conseil Départemental du Bas-Rhin nous a offert un cadeau : une visite guidée du plus grand château médiéval d'Alsace "Haut-Kœnigsbourg"
Mais le but de notre séjour n'était pas seulement d'échanger les richesses culturelles de nos pays en France, mais de travailler sérieusement sur un sujet donné. Le thème du centre de cette année pour les participants était «Les avancées vertigineuses de la science, une chance et un défi pour l'Homme, une chance et un défi pour une Europe humaniste». Tous les stagiaires ont écrit un essai sur ce sujet. On a assisté aux nombreuses conférences, y compris celle avec le vice-président de l'Université de Strasbourg, Michel de Matelin, et celle avec Jean-Marie Lehn, prix Nobel de chimie. Nous avons eu une réception au Parlement Européen par Anne Sander, Députée Européenne. Le programme de stage s'est achevé par une visite du Conseil de l’Europe.
Un mois du stage s’est passé imperceptiblement et, le 25 juillet, la cérémonie officielle de clôture du CIFGE 2019 a eu lieu dans le pittoresque pavillon construit par Napoléon pour l’impératrice Joséphine, qui se trouve au centre de Strasbourg. 280 personnes ont été invitées à la réception, inclus Président du Conseil des gouverneurs du Lions Club, Raymond Lê, et des représentants du Conseil régional du Grand Est, du Conseil Départemental du Bas-Rhin et de la Ville de Strasbourg. On a organisé un grand spectacle pour les hôtes de la soirée liés avec la thématique de CIFGE 2019. Nous avons présenté plusieurs danses et chansons de différents pays en y incluant les chansons russes « Koukouchka » et « Kalinka ».
Le moment le plus difficile du stage était la séparation avec mes amis, avec lesquels je partage de merveilleux souvenirs de ma vie. Cependant, Christian Gaillac, le président des CIF, a dit que « ce n’était que le début de notre amitié pour toute la vie !»
CIFGE est une expérience inestimable de partage culturel où vous pouvez non seulement améliorer sensiblement votre niveau de français, mais aussi découvrir de nouveaux talents. Moi, par exemple, j’étais vraiment inspiré par l’atmosphère du stage et j’ai décidé un jour de créer une vidéo « J’aime CIFGE» avec tous les animateurs et tous les stagiaires dans toutes les langues qu’on parlait. On m’a soutenu et on a créé cette vidéo qui était un point final de la cérémonie de clôture de CIFGE.
Avant d'arriver en France, on nous a promis un séjour inoubliable, mais la réalité a dépassé toutes les attentes !
Le stage culturel CIFGE est spécial pour moi parce que c’est la première fois que j'étais à l'étranger, et deuxièmement, j'étais en France, pays de mes rêves.
Pour moi personnellement :
C - Cordialité
I- Intelligence
F- Fraternité
G- Grâce
E- Équipe
En conclusion, je voudrais dire que les CIF a beaucoup changé ma conception du monde. J'ai appris à mieux comprendre nos différences, à partager des aspirations communes et, par conséquent, à apprendre, à comprendre et à respecter l’autre. Grâce à cette expérience, je pourrai mieux m'intégrer dans le monde du travail avec un esprit plus humaniste.
Les CIF compte sept centres francophones internationaux répartis dans tout le pays. Moi, j’étais très contente d’apprendre que j’allais faire mon stage à Strasbourg, capitale de l’Europe.
La règle principale du stage était de communiquer uniquement en français, sans utiliser l'anglais (ni le russe, l'arabe ou l'espagnol), ce qui n'était pas particulièrement difficile, car la plupart des stagiaires avaient un bon niveau de la langue.
Le 29 juin, on a commencé notre stage à Châtenay-Malabry au CREPS (Centre de ressources, d'expertise et de performance sportive) où tous les 210 stagiaires de sept centres de plus de 63 pays se sont réunis. J'ai immédiatement pénétré dans une atmosphère amicale. À l'entrée, j'ai été accueillie par une jeune fille radieuse prénommée Gvantsa, qui s'est révélée par la suite être l'une des quatre animateurs de mon centre qui s’appelait CIFGE (le Centre International Francophone Grand Est). Cette année CIFGE était présenté par 39 francophones issus de 32 pays différents.
Le début du stage s'est déroulé en préparation du grand spectacle d'ouverture des CIF 2019. Mais avant le concert tous les stagiaires, accompagnés d'animateurs, ont fait la première promenade ensemble à travers Paris. On a fait une croisière inoubliable sur la Seine sur un bateau « Vedettes de Pont Neuf» d’où nous avions le plaisir d’admirer la Conciergerie, le Château de Vincennes, le Panthéon, Le Notre Dame de Paris, la Musée d’Orsay.
Juste après l’arrivée au CREPS on a eu une répétition générale d’une fête d’ouverture. Peu après tous les participants se préparaient pour présenter leurs pays. Tout le monde était passionné par l’idée de se présenter. Nous étions habillés en tenues traditionnelles de nos pays.
Ayant goûté une variété de spécialités des différents pays pendant un apéritif international, tous les stagiaires en tenue traditionnelle ont présenté une légende régionale de leurs pays qui durait maximum 2 min lors de la soirée d’ouverture des centres. Le thème cette année était « La légende des CIF ».
Yulia Kukharenko a chanté une chanson russe et nous, 10 stagiaires venus de différentes régions de notre pays, avons dansé le quadrille de Moscou ensemble.
Le 30 juin, on a quitté la capitale française pour finalement arriver au centre francophone choisi. Cependant, sur le chemin vers la capitale européenne, on a fait de nombreux arrêts et on a découvert les villes et villages pittoresques de Champagne, d’Ardennes et d’Alsace. Pendant le stage, j’étais accueillie par différentes familles d’accueil, ce qui nous a permis de plonger dans l'atmosphère de la vie quotidienne des français. Où que nous soyons, on nous accueillait comme les meilleurs amis.
Le programme du CIFGE était plein de diverses activités autour de la thématique science et humanisme (débats avec des personnalités, visite de hauts lieux mémoriels et patrimoniaux…), ainsi qu'à des activités traditionnelles des centres : présentation des pays par chaque stagiaire, création de l'œuvre d'art du GIFGE 2019, rédaction d'un rapport qui sera diffusé dans le monde entier et préparation de la soirée de clôture qui a eu lieu le 25 juillet au Pavillon Joséphine à Strasbourg.
Cette année, le président des CIF et notre responsable, Christian Gaillac, a introduit le système du parrainage de chaque stagiaire. Ainsi, la présidente des Lions Clubs de Verdun, Mme Estelle Girault Dreneri, a examiné ma candidature et elle l’a choisie. En l'honneur cet événement mémorable, à la mairie de la ville, j’avais une occasion de lui remettre fanion de l’AMICIF.
Au cours du stage, j'ai fait un voyage virtuel non seulement à travers la France, mais aussi à travers de 31 pays. J'ai fait connaissance de la culture et des traditions de tous les pays présentés. La rencontre avec mes nouveaux amis a "détruit" de nombreux stéréotypes sur leurs pays. Tout le stage s'est déroulé dans une ambiance chaleureuse et conviviale grâce au travail des organisateurs et à une équipe d’encadrement formidable.
Nous avons également pris connaissance de la cuisine française, surtout de la cuisine alsacienne : la tarte flambée, la choucroute, la bouchée à la reine, le kougelhopf, le bretzel.
Les chansons, les danses et les blagues faisaient partie intégrante de notre séjour en France. Où que nous soyons, nous avions toujours nos propres phrases. Par exemple, étant dans les transports en commun pour ne pas nous perdre, on chantait «on descend à la prochaine», ce qui amusait toujours les gens autour de nous.
Le 13 juillet était un jour extraordinaire parce qu’on avait l’honneur de chanter La Marseillaise, l'hymne National de France et l'hymne de l'Union Européenne à la mairie sous la direction du chef d'orchestre professionnel Anne Rose Wehrle devant les autorités de Strasbourg.
Notre concert a tellement impressionné le maire de Strasbourg qu'il nous a invités le 17 juillet à une réception du Parlement Européen à l'hôtel de ville. Tous les stagiaires ont eu une occasion unique de parler à la Ministre en charge des Relations avec le Parlement Européen, au Président du Parlement Européen et aux nouveaux députés européens
Ce qui était amusant, c'est que les représentants de différents pays ne pouvaient pas déterminer ma nationalité par apparence. Par exemple, lors de la réception à l'hôtel de ville, un député européen de Roumanie s'est approché de moi et a commencé en roumain, pensant que j’étais une représentante de son pays. Après cette situation, tous les stagiaires de Roumanie ne m'appelaient que «notre compatriote».
Au cours du stage, les stagiaires présentaient la culture, les traditions et les coutumes, la cuisine de leur patrie. Ma compatriote de Sibérie, Akhmetchina Daria, et moi, avons présenté notre pays natal, le 7 juillet. Pour nous, c'était un moment important et responsable. On a fait une excursion virtuelle de la Russie en général, mais on a également parlé de nos régions. À mon tour, j'ai partagé avec mes nouveaux amis une partie de ma petite patrie, la République d'Adyguée, en présentant nos traditions, nos coutumes, nos costumes nationaux.
Dans notre centre, il y avait plusieurs stagiaires russophones. C’est pourquoi le soir, on nous demandait de chanter les chansons préférées de tous – «Kalinka» et «Katyusha». À la fin du stage, presque tous les stagiaires connaissaient par cœur les paroles de ces compositions célèbres.
Le programme culturel était très diversifié. À Strasbourg, nous avons visité le Musée d'Art moderne et contemporain qui présente les œuvres de Van Gogh, Claude Monet, Vasily Kandinsky etc. Moi, j’ai beaucoup aimé une visite de la Bibliothèque humaniste de Sélestat. Cet établissement, inscrit au registre mémoire du monde de l'UNESCO, abrite une importante collection d'ouvrages relatifs à l'humanisme, légués en 1547 par l'éditeur et écrivain Beatus Rhenanus. Le Conseil Départemental du Bas-Rhin nous a offert un cadeau : une visite guidée du plus grand château médiéval d'Alsace "Haut-Kœnigsbourg"
Mais le but de notre séjour n'était pas seulement d'échanger les richesses culturelles de nos pays en France, mais de travailler sérieusement sur un sujet donné. Le thème du centre de cette année pour les participants était «Les avancées vertigineuses de la science, une chance et un défi pour l'Homme, une chance et un défi pour une Europe humaniste». Tous les stagiaires ont écrit un essai sur ce sujet. On a assisté aux nombreuses conférences, y compris celle avec le vice-président de l'Université de Strasbourg, Michel de Matelin, et celle avec Jean-Marie Lehn, prix Nobel de chimie. Nous avons eu une réception au Parlement Européen par Anne Sander, Députée Européenne. Le programme de stage s'est achevé par une visite du Conseil de l’Europe.
Un mois du stage s’est passé imperceptiblement et, le 25 juillet, la cérémonie officielle de clôture du CIFGE 2019 a eu lieu dans le pittoresque pavillon construit par Napoléon pour l’impératrice Joséphine, qui se trouve au centre de Strasbourg. 280 personnes ont été invitées à la réception, inclus Président du Conseil des gouverneurs du Lions Club, Raymond Lê, et des représentants du Conseil régional du Grand Est, du Conseil Départemental du Bas-Rhin et de la Ville de Strasbourg. On a organisé un grand spectacle pour les hôtes de la soirée liés avec la thématique de CIFGE 2019. Nous avons présenté plusieurs danses et chansons de différents pays en y incluant les chansons russes « Koukouchka » et « Kalinka ».
Le moment le plus difficile du stage était la séparation avec mes amis, avec lesquels je partage de merveilleux souvenirs de ma vie. Cependant, Christian Gaillac, le président des CIF, a dit que « ce n’était que le début de notre amitié pour toute la vie !»
CIFGE est une expérience inestimable de partage culturel où vous pouvez non seulement améliorer sensiblement votre niveau de français, mais aussi découvrir de nouveaux talents. Moi, par exemple, j’étais vraiment inspiré par l’atmosphère du stage et j’ai décidé un jour de créer une vidéo « J’aime CIFGE» avec tous les animateurs et tous les stagiaires dans toutes les langues qu’on parlait. On m’a soutenu et on a créé cette vidéo qui était un point final de la cérémonie de clôture de CIFGE.
Avant d'arriver en France, on nous a promis un séjour inoubliable, mais la réalité a dépassé toutes les attentes !
Le stage culturel CIFGE est spécial pour moi parce que c’est la première fois que j'étais à l'étranger, et deuxièmement, j'étais en France, pays de mes rêves.
Pour moi personnellement :
C - Cordialité
I- Intelligence
F- Fraternité
G- Grâce
E- Équipe
En conclusion, je voudrais dire que les CIF a beaucoup changé ma conception du monde. J'ai appris à mieux comprendre nos différences, à partager des aspirations communes et, par conséquent, à apprendre, à comprendre et à respecter l’autre. Grâce à cette expérience, je pourrai mieux m'intégrer dans le monde du travail avec un esprit plus humaniste.